Chirurgie réparatrice
Demande de chirurgie réparatrice
La perte massive et rapide de poids s’accompagne dans la majorité des cas de modifications de la silhouette, à l’origine d’une transformation de l’image corporelle, pouvant avoir des conséquences psychologiques notables sur les patients et leur entourage. Elle peut également être source d’une gêne fonctionnelle dans la vie quotidienne : gêne à la marche, à l’habillage, à l’activité physique et l’activité sexuelle. La chirurgie plastique vise à corriger les aléas de cet amaigrissement massif. Si la demande de chirurgie réparatrice n’émane pas du patient, elle doit lui être proposée, en tenant compte de la morphologie et de la psychologie du patient.
Quand envisager la chirurgie réparatrice ?
Il est recommandé d’attendre un délai de 12 à 18 mois après la chirurgie bariatrique, en l’absence de dénutrition. La phase descendante pondérale doit avoir atteint durablement son nadir, avec un poids stable depuis quelques mois, sans tenir compte des variations minimes du poids.
Les patients obèses doivent être pris en charge par des équipes de chirurgie réparatrice expérimentées.
L’indication doit être discutée avec le patient, l’équipe de chirurgie réparatrice et l’équipe multidisciplinaire suivant le patient.
Les conditions nécessaires pour pouvoir envisager ces interventions sont une demande raisonnable d’une chirurgie réparatrice pouvant concerner plusieurs sites, une compréhension de l’intervention, de ses limites et de sa finalité, une information claire et détaillée des risques de complications chirurgicales, le respect d’un délai de réflexion, l’arrêt de toute intoxication tabagique dans la période péri-opératoire afin de réduire le risque de nécrose tissulaire, l’absence de contre-indication anesthésique et enfin l’accord de la caisse d’Assurance Maladie pour la prise en charge.
La première consultation permet d’analyser la demande du patient et de définir les possibilités et les limites de chaque chirurgie. Cette consultation est suivie d’une demande d’entente préalable auprès des caisses d’Assurance Maladie, à adresser par le patient lui-même, plus ou moins suivie d’une visite auprès du médecin conseil.
Une deuxième consultation est souvent nécessaire après un délai légal de réflexion d’au moins 15 jours, afin de confirmer la décision chirurgicale et de fixer la date opératoire.
Les patients obèses doivent être pris en charge par des équipes de chirurgie réparatrice expérimentées.
L’indication doit être discutée avec le patient, l’équipe de chirurgie réparatrice et l’équipe multidisciplinaire suivant le patient.
Les conditions nécessaires pour pouvoir envisager ces interventions sont une demande raisonnable d’une chirurgie réparatrice pouvant concerner plusieurs sites, une compréhension de l’intervention, de ses limites et de sa finalité, une information claire et détaillée des risques de complications chirurgicales, le respect d’un délai de réflexion, l’arrêt de toute intoxication tabagique dans la période péri-opératoire afin de réduire le risque de nécrose tissulaire, l’absence de contre-indication anesthésique et enfin l’accord de la caisse d’Assurance Maladie pour la prise en charge.
La première consultation permet d’analyser la demande du patient et de définir les possibilités et les limites de chaque chirurgie. Cette consultation est suivie d’une demande d’entente préalable auprès des caisses d’Assurance Maladie, à adresser par le patient lui-même, plus ou moins suivie d’une visite auprès du médecin conseil.
Une deuxième consultation est souvent nécessaire après un délai légal de réflexion d’au moins 15 jours, afin de confirmer la décision chirurgicale et de fixer la date opératoire.
Types d’interventions réalisables
Les deux interventions les plus demandées sont la plastie abdominale plus ou moins combinée à la plastie d’un pubis pendulum, et la plastie mammaire, non prise en charge par l’Assurance Maladie.
D’autres interventions sont envisageables, en fonction des modifications corporelles : plasties brachiales, plasties crurales, plasties tronculaires, plasties cervico-faciales, plasties dorsales hautes.
Les suites opératoires nécessitent une convalescence de 1 à 4 semaines en fonction de l’intervention et consistent en des soins locaux associés à la prévention de la maladie veineuse thrombo-embolique, la lutte contre la douleur et le port d’un vêtement compressif assurant la contention du site opéré pendant 6 à 8 semaines.
Les complications opératoires sont celles de la chirurgie de l’obésité, associées aux hémorragies et hématomes, aux infections, aux désunions cicatricielles et aux nécroses, dont la nécrose de lambeau, complication rare mais grave, favorisée par la persistance de l’intoxication tabagique et les carences nutritionnelles.
D’autres interventions sont envisageables, en fonction des modifications corporelles : plasties brachiales, plasties crurales, plasties tronculaires, plasties cervico-faciales, plasties dorsales hautes.
Les suites opératoires nécessitent une convalescence de 1 à 4 semaines en fonction de l’intervention et consistent en des soins locaux associés à la prévention de la maladie veineuse thrombo-embolique, la lutte contre la douleur et le port d’un vêtement compressif assurant la contention du site opéré pendant 6 à 8 semaines.
Les complications opératoires sont celles de la chirurgie de l’obésité, associées aux hémorragies et hématomes, aux infections, aux désunions cicatricielles et aux nécroses, dont la nécrose de lambeau, complication rare mais grave, favorisée par la persistance de l’intoxication tabagique et les carences nutritionnelles.
Lieux de pratique
Cursus
DOCTEUR FRÉDÉRIC DOUCHEZ
- ANCIEN INTERNE DES HÔPITAUX DE PARIS
- ANCIEN CHEF DE CLINIQUE
- ASSISTANT DES HÔPITAUX DE PARIS
- CHIRURGIE GÉNÉRALE VISCÉRALE ET DIGESTIVE
- CHIRURGIE DE L’OBÉSITÉ
Honoraires
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